Au début
de la crise du coronavirus, ayant lu un article qui m’avait bien interpellée
sur la comparaison entre le livre de Camus et la crise actuelle, j’ai eu envie
de relire « La peste ».
Je l’ai ouvert et ne l’ai quasiment plus lâché jusqu’au point final.
Je l’ai ouvert et ne l’ai quasiment plus lâché jusqu’au point final.
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