L’humanité détruite par un virus, Robert Néville reste le seul survivant. Chaque nuit, il s’enferme et se barricade chez lui pour échapper à ces créatures qui autrefois étaient des personnages familiers, des voisins, des amis. Comme des vampires, ils ont besoin de se nourrir de son sang pour se régénérer et sont contraints de fuir la lumière du jour.
En proie à la solitude, au chagrin, au désespoir, Robert Néville survit et tel un Robinson des temps modernes organise sa vie : il part à la recherche de ces morts-vivants rendus inoffensifs par la lumière pour les éliminer, se lance dans la recherche scientifique pour comprendre ce qui arrivé à l’humanité : comment un virus a-t-il pu se propager aussi vite et détruire une civilisation ? Ses recherches lui permettent de comprendre la nature de ce virus et la rapidité de la pandémie. Cependant les années passent, aucun médicament, aucun vaccin testés par Robert Néville sur cette population de "morts-vivants" n'ont prouvé leur efficacité.
Un jour, de manière tout à fait improbable, il rencontre une jeune femme qui paraît semblable à lui : elle ne craint pas la lumière du jour, s’est cachée elle aussi pendant toutes ces années. Robert a besoin de croire à son récit, mais est-il possible qu’il ne soit pas le seul survivant ?
J’ai relu ce livre à l’occasion du confinement. Bon récit de science fiction écrit en 1954, il présente bien des résonances sur notre situation actuelle !!!!
Lily
Un roman bien en phase avec notre temps. Heureusement les malades ne deviennent pas des morts vivants. Merci pour le conseil.
RépondreSupprimer