Omar khayyâm (1048-1131) est un grand poète persan de l’époque médiévale. Il est aussi mathématicien ; astronome et philosophe de grand renom. Célèbre de son vivant pour son activité scientifique, Omar Khayyâm ne sera connu comme poète que soixante dix ans après sa mort ! Ce qui fait parfois douter de l’attribution de ces robâïs (quatrains) au moins pour une partie d’entre eux.
Pour Omar Khayyâm, il n’est d’autre vie que celle de ce monde ni d’autre vérité que celle de ses plaisirs éphémères…
Un de ses quatrains en témoigne :
Des houris, du paradis
on promet mille merveilles ;
La merveille, moi je dis
que c’est le jus de la treille.
Un tiens vaut mieux, me amis,
que ces tu-l’auras-un-jour :
C’est de loin que le tambour
est agréable à l’oreille !
Jacqueline
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